Dépression et Médecine Fonctionnelle : Causes, Approches Naturelles et Solutions Thérapeutiques
Vous vous demandez le point de vue de la médecine fonctionnelle sur les dépressions ? Quelles sont les causes de la dépression ? Quelles sont les solutions ?
Dépressions : qu’est ce que c’est en médecine fonctionnelle ?
Pour commencer, du point de vue de la médecine fonctionnelle, les dépressions sont des dysfonctions des métabolismes des neurotransmetteurs. Cela signifie que le patient ne parvient plus à bénéficier des bienfaits des neurotransmetteurs.
TABLEAU NEUROTRANSMETTEUR ET BIENFAITS
Dépressions : les causes en médecine fonctionnelle ?
Tout d’abord, il faut savoir que les neuromédiateurs naissent en majorité dans les intestins. Ainsi un microbiote équilibré est indispensable à la synthèse adéquate des neuromédiateurs.
De plus, pour convertir les molécules de bases en neurotransmetteurs il est nécessaire de bénéficier d’un statut optimale en différent en nutriment.
En outre, il est nécessaire d’avoir une stabilité de la glycémie, car celle ci est nécessaire au passage des neuromédiateurs vers le cerveau.
Egalement, un stress oxydant équilibré et un statut hypo-inflammatoire sont nécessaire pour que les cellules du cerveau puisse capter optimalement ces molécules.
Enfin, les hormones vont également sensibiliser les récepteurs des neuromédiateurs. Ainsi, un manque de certaines hormones peut favoriser une dépression.
TABLEAU NEUROMÉDIATEUR ET HORMONES
Dépressions : les analyses en médecine fonctionnelle ?
Les analyses en cabinet
Tout d’abord, les thérapeutes en médecine fonctionnelle pourront utiliser différents outils pour évaluer la dépression en cabinet. Comme des questionnaires pour évaluer le degré de dépression ou des questionnaires pour évaluer quelle neuromédiateur fait défaut.
Ils pourront également utiliser des outils comme plus technologiques comme la mesure de la variabilité de fréquence cardiaque. Cette mesure pourra leurs permettre de vous recommander des exercices de respiration, de la pratique sportive ou encore un suivi en psychologie.
Ces outils permettront d’avoir un point de départ pour voir si les mesures prises sont efficaces. Et ainsi, adapter la prise en charge.
Les analyses en laboratoire
Pour commencer, l’évaluation du statut en neuromédiateur à fait des bons énormes ces dernières années. Ce qui permet d’avoir un panel d’analyses de laboratoire donnant des informations précieuses.
Le bilan des neuromédiateurs permet non seulement de savoir quel niveau de neuromédiateurs vous disposez. Mais aussi quelle réactions chimiques empêchent la production de ces neuromédiateurs. Ce qui permet de cibler précisément les vitamines qui font défaut.
De la même manière, l’analyse des hormones sont disponibles dans les laboratoires. Ainsi, les médecins fonctionnelles pourront vous recommander ces analyses précieuses pour voir ou vous en êtes.
Enfin, l’analyse du microbiote permet aujourd’hui de savoir quelle bactérie vous disposez en excès ou en manque. Ceci permet d’adopter la prise en charge adéquate, qui va de recommandations alimentaires jusqu’à la prise d’antibiotiques, en passant par des compléments alimentaires.
Dépressions : les solutions en médecine fonctionnelle ?
Les solutions hygiéno-diétetiques
Tout d’abord, les habitudes de vies peuvent avoir un impact considérable sur la production d’hormones et de neuromédiateurs. Egalement, elle peuvent préserver le statut en micronutriment en diminuant les dépenses pathologiques via une inflammation excessive par exemple.
Ainsi, il est toujours recommandé d’adopter le mode de vie le plus sain possible avant de réaliser des analyses. Ces recommandations comprennent :
–Optimisation du sommeil
–Alimentation riche en légumes
–Apport adapté de protéines et féculent selon les dépenses énergétiques et les besoins
–Gestion du stress (via la cohérence cardiaque par exemple)
–Activité physique
L’idéal est d’optimiser votre hygiène de vie, autant que possible selon vos contraintes. Ainsi, les analyses fonctionnels révéleront vos manques véritables par rapport a ce que l’environnement peut vous donner.
Les complémentations
Tout d’abord, comme nous l’avons vu, le magnésium, la vitamine B6,B9,B12 et zinc sont indispensables à la synthèse de neuromédiateurs.
De la même manière la stabilité de la glycémie, qui dépend du zinc, de la vitamine D, du chrome, du magnésium et du fonctionnement des mitochondries sont nécessaires. Un microbiote hypo inflammatoire et normo-extracteur de glucide est également nécessaire.
Egalement, la consommation de polyphénols et flavonoïdes comme la quercetine, l’apigénine et la lutéine vont favoriser un microbiote synthétisant du GABA, de la sérotonine t de la dopamine.
Attention, le but est de vous donner les recommandations adaptés selon vos besoins. Pour que vous puissiez conservez ces recommandations pour rester en bonne santé. Il est donc recommander de réaliser des analyses en cas de supplémentation.
Conclusion sur les dépressions en médecine fonctionnelle ?
Pour conclure, les dépressions en médecine fonctionnelle sont des pathologies complexes pouvant résulter de multiples désordres.
PHOTO ICEBERG AVEC CAUSES ?
Chaque dépressions est ainsi unique et nécessite un traitement individualisé et personnalisé. Vous pouvez commencer par recourir a des modifications d’hygiène de vie en autonomie vue plus haute.
Si ces recommandations mises en places sont insuffisantes, vous pouvez consulter un thérapeute en médecine fonctionnelle pour évaluer vos besoins et mettre en place les complémentations adaptés.